The Visit

La chorégraphe Piera Jovic propose de faire atterrir un bonhomme en tenue sidérurgique à Dudelange, dans le quartier Italie. Le lieu,les habitants et leurs histoires sont le moteur principal de la création de cette performance d'une vingtaine de minutes. Elle y questionne la notion de frontière, d'accueil et de codes sociaux.

La chorégraphe Piera Jovic propose de faire atterrir un bonhomme en tenue sidérurgique à Dudelange, dans le quartier Italie. Le lieu,les habitants et leurs histoires sont le moteur principal de la création de cette performance d'une vingtaine de minutes. Elle y questionne la notion de frontière, d'accueil et de codes sociaux.

La chorégraphe Piera Jovic propose de faire atterrir un bonhomme en tenue sidérurgique à Dudelange, dans le quartier Italie. Le lieu,les habitants et leurs histoires sont le moteur principal de la création de cette performance d'une vingtaine de minutes. Elle y questionne la notion de frontière, d'accueil et de codes sociaux.

La chorégraphe Ileanna Orofino nous emmène à la Maison Rosati. Cet endroit présente un contraste entre le passé et le présent. En 1880 on y extrayait le minerai de fer, tandis q'au présent elle est mise à disposition sous location pour passer un moment en isolation, sans eau courante, ni électricité, entouré par la nature, peut-être dans le souhait de s’échapper d’une vie frénétique. Ce refuge, figé dans le temps, offre un espace réconfortant. Ainsi sous sa protection thermique, le bonhomme représente celui qui désire plonger dans un univers intime, cet univers dont on ne peut jamais s’échapper, le moi. Elle questionne l'espace intime, les masques sociaux, et les différentes facettes du moi. Mécène en nature: CIGL Esch Sponsor: Fortunato s.à.r.l. Les artistes et co-créateurs: Aifric Ní Chaoimh, Gianfranco Celestino et Ileana Orofino du collectif LUCODA Musicien: Tomas Tello Technique: Frederic Toussaint

La chorégraphe Ileanna Orofino nous emmène à la Maison Rosati. Cet endroit présente un contraste entre le passé et le présent. En 1880 on y extrayait le minerai de fer, tandis q'au présent elle est mise à disposition sous location pour passer un moment en isolation, sans eau courante, ni électricité, entouré par la nature, peut-être dans le souhait de s’échapper d’une vie frénétique. Ce refuge, figé dans le temps, offre un espace réconfortant. Ainsi sous sa protection thermique, le bonhomme représente celui qui désire plonger dans un univers intime, cet univers dont on ne peut jamais s’échapper, le moi. Elle questionne l'espace intime, les masques sociaux, et les différentes facettes du moi. Mécène en nature: CIGL Esch Sponsor: Fortunato s.à.r.l. Les artistes et co-créateurs: Aifric Ní Chaoimh, Gianfranco Celestino et Ileana Orofino du collectif LUCODA Musicien: Tomas Tello Technique: Frederic Toussaint

La chorégraphe Ileanna Orofino nous emmène à la Maison Rosati. Cet endroit présente un contraste entre le passé et le présent. En 1880 on y extrayait le minerai de fer, tandis q'au présent elle est mise à disposition sous location pour passer un moment en isolation, sans eau courante, ni électricité, entouré par la nature, peut-être dans le souhait de s’échapper d’une vie frénétique. Ce refuge, figé dans le temps, offre un espace réconfortant. Ainsi sous sa protection thermique, le bonhomme représente celui qui désire plonger dans un univers intime, cet univers dont on ne peut jamais s’échapper, le moi. Elle questionne l'espace intime, les masques sociaux, et les différentes facettes du moi. Mécène en nature: CIGL Esch Sponsor: Fortunato s.à.r.l. Les artistes et co-créateurs: Aifric Ní Chaoimh, Gianfranco Celestino et Ileana Orofino du collectif LUCODA Musicien: Tomas Tello Technique: Frederic Toussaint

Le chorégraphe Gianfranco Celestino s'amuse à décontextualiser son bonhomme en tenue d'aluminium, en l'amenant au centre commercial Belval Plaza, symbole de la réhabilitation réussie d'un ancien site sidérurgique. Il interroge la notion de succès pour les humains, entre glorieux passé industriel, et consommation moderne. Il joue avec le contraste visuel et de contenu entre la tenue du personnage et le lieu de la performance. Créant un espace hors du temps, il veut éveiller la réflexion du public sur le lien entre passé, présent et futur.

Le chorégraphe Gianfranco Celestino s'amuse à décontextualiser son bonhomme en tenue d'aluminium, en l'amenant au centre commercial Belval Plaza, symbole de la réhabilitation réussie d'un ancien site sidérurgique. Il interroge la notion de succès pour les humains, entre glorieux passé industriel, et consommation moderne. Il joue avec le contraste visuel et de contenu entre la tenue du personnage et le lieu de la performance. Créant un espace hors du temps, il veut éveiller la réflexion du public sur le lien entre passé, présent et futur.

Le chorégraphe Gianfranco Celestino s'amuse à décontextualiser son bonhomme en tenue d'aluminium, en l'amenant au centre commercial Belval Plaza, symbole de la réhabilitation réussie d'un ancien site sidérurgique. Il interroge la notion de succès pour les humains, entre glorieux passé industriel, et consommation moderne. Il joue avec le contraste visuel et de contenu entre la tenue du personnage et le lieu de la performance. Créant un espace hors du temps, il veut éveiller la réflexion du public sur le lien entre passé, présent et futur.